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  • notre métier : vous aider à réussir les étapes décisives de votre carrière

Le conseil et l’accompagnement des cadres dirigeants dans les étapes décisives de leur carrière (départ ou nouveau cap professionnel…).

L’histoire de notre métier

Notre métier a été inventé par Domitille Tézé. En charge des ressources humaines dans un grand cabinet de conseil américain, elle a eu à licencier de nombreux cadres. Constatant leur désarroi, leur solitude et les nombreuses erreurs de réflexion et de comportement qu’ils commettaient à ce moment clé de leur carrière, elle a cherché s’il existait des professionnels qui pouvaient les conseiller et les accompagner. Il n’en existait pas. Elle a décidé de créer le métier et en juillet 2003 elle a fondé la société Transition Plus, au sein duquel il s’est développé.

Notre approche

Une approche centrée sur la personne

  • Nous dédions une équipe d’experts pour un accompagnement sur mesure, selon les objectifs et les besoins du dirigeant.

Une approche complète s’appuyant sur 3 dimensions

  • Nous l’aidons à réussir chacune des étapes décisives de sa carrière sur les plans personnel, professionnel, matériel et financier.

Notre approche

Nos atouts

  • Dans notre cabinet, chaque consultant a exercé des responsabilités managériales en entreprise (marketing, finance, commercial…) complétée par une expertise RH (poste de DRH et / ou certifications coaching).
  • Un avocat spécialisé en droit du travail complète notre équipe.
  • Nous mettons à la disposition de chaque client une équipe de consultants dédiés, appropriés et complémentaires.
  • Notre méthode est opérationnelle, pratique, concrète et limitée dans le temps.

Nos références

Depuis juillet 2003, Transition Plus a accompagné avec succès plus de 1000 dirigeants et cadres supérieurs travaillant :

  • dans de multiples secteurs : banque, distribution, luxe, industrie (cosmétique, alimentaire, pharmaceutique, automobile…), high-tech, communication, transports…
  • dans les fonctions les plus diverses : direction générale, fonctions financières, commerciales, marketing, internationales, production, développement…
  • dans des entreprises de tailles variées.

Les situations personnelles suivies par Transition Plus sont très différentes :

  • Questionnements ou départs liés à des réorganisations…
  • Rebond, changement de cap ou évolution professionnelle

Sur les 3 dernières années :

  • 97,8% de nos clients se sont déclarés très satisfaits ou satisfaits de nos services,
  • 98,9% nous recommanderaient auprès d’un tiers.
    (source : répondants à notre questionnaire de satisfaction)

Témoignages

Bien gérer les différents aspects d’une situation

Jean-Yves Forestier, Directeur Général

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• Quelle était votre situation quand vous avez pris contact avec le cabinet Transition Plus ?

J’étais Directeur Général de la filiale française d’un groupe anglo-saxon, chargé de mettre en place un plan de redressement et de réorganiser la société pour améliorer son niveau de qualité et ses performances industrielles. Le contexte social et politique était très particulier, à un certain moment j’ai considéré que je n’avais plus les moyens d’effectuer ma mission. Le groupe m’a proposé un nouveau poste mais son contenu était mal défini, j’ai pensé qu’il fallait partir.

• En quoi le cabinet Transition Plus vous a-t-il permis de résoudre cette crise de carrière ?

Il m’a permis d’analyser ma situation de manière rationnelle, moins émotionnelle que je ne le faisais. Dans les discussions il m’a aidé à définir des objectifs réalistes, à développer une stratégie et à rythmer mes négociations (ralentir et accélérer aux moments opportuns). Il m’a apporté un regard professionnel sur le métier des RH avec lequel je discutais. Il a été enfin d’un support psychologique précieux à un moment où j’étais fragilisé.

• Quels bénéfices avez-vous retiré de sa prestation ?

Une transaction finale optimisée (avec un outplacement) et une excellente situation, matérielle et psychologique, pour me repositionner.

• Aujourd’hui, où en êtes-vous ?

En moins de 6 mois j’ai retrouvé une Direction Générale plus intéressante que la précédente.

Bien quitter une PME

François de Lacvivier, Directeur Commercial et Marketing

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• Pouvez-vous nous dire en quelques mots quelle était votre situation ?

Depuis 6 ans j’étais Directeur Commercial et Marketing d’un groupe familial de 250 millions d’euros de chiffre d’affaires, avec des responsabilités européennes, dans le domaine de la fabrication des CD et des DVD. Les 2 dernières années j’étais assez malheureux dans mon poste : nous avons changé 3 fois de Directeur Général… mais je n’ai pas eu le temps de bien connaître le 3 ème . Quand une séparation a été envisagée, j’ai immédiatement contacté mon réseau, en cherchant, en particulier, une alternative à l’avocat. C’est comme ça que j’ai découvert le Career Crisis Management.

• En quoi le cabinet Transition Plus vous a-t-il aidé dans cette crise ?

A fixer dès le départ des objectifs mesurables : ils m’ont permis de suivre une ligne de conduite cohérente et d’évaluer les réalisations faites. Pour ma part je cherchais à sortir de la crise par le haut, rapidement, tout en respectant la culture familiale et affective de la PME. Le consultant qui avait une bonne compréhension des relations en entreprise a pu se mettre dans la logique de mes interlocuteurs et m’a permis d’éviter les conflits avec eux. Un avocat m’aurait amené à avoir des rapports plus durs, je pense.

• Quels bénéfices avez-vous retiré de sa prestation ?

Les objectifs matériels ont été atteints et j’ai aussi retiré des bénéfices sur le plan humain : psychologiquement j’étais bien, je ne me suis jamais senti seul pour gérer la situation, je ne l’ai jamais subie. Le consultant est resté très présent pendant toute la crise et même au-delà.

• Aujourd’hui où en êtes-vous ?

Je suis bien plus heureux. J’ai créé LIFEBOX, une société dans le domaine de l’équipement de sécurité incendie. Je viens d’apprendre que je suis Lauréat de Réseau Entreprendre 2005.

Garder la maîtrise de son départ

Patrick Vicard, Directeur Commercial

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• En quelques mots, quelle était votre situation quand vous avez pris contact avec le cabinet Transition Plus ?

J’étais Directeur Commercial d’une entreprise de presse depuis 5 ans et j’étais en désaccord stratégique avec ma hiérarchie. Je sentais qu’une séparation se profilait. Je n’avais aucune expérience de ce type de départ, ça allait être nouveau pour moi, je voulais pouvoir anticiper. D’où l’envie d’un accompagnement.

• En quoi le cabinet Transition Plus vous a-t-il aidé dans cette crise ?

A anticiper justement : j’ai toujours eu le sentiment d’avoir un coup d’avance dans mes négociations et de pouvoir surprendre mes interlocuteurs. Et comme le CCM m’a aussi aidé à rester concret et à considérer objectivement les faits, j’avais une bonne maîtrise de la situation. Conséquence : jamais je n’ai perdu confiance, ni perçu cette période comme un échec. Ce n’était pas un moment très agréable bien sûr, mais la situation était maîtrisable et même sans doute utile.

Autre chose : en étant accompagné, j’avais le sentiment d’appartenir à une équipe, de ne pas avoir à me battre seul. C’était stimulant.

• Quels bénéfices avez-vous retirés de sa prestation ?

Le montant très correct de la transaction, la bonne relation maintenue avec l’entreprise, un travail de réflexion et de reconstruction de ma vie professionnelle.

• Aujourd’hui où en êtes-vous ?

J’ai créé une entreprise commerciale dans l’univers de la presse, TXT Editions, qui est bien partie : 1,5 millions d’euros de chiffre d’affaires la première année et je m’attends à beaucoup plus pour la suivante.

Savoir dédramatiser

Nathalie Raffy, Directrice Marketing International

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• Quelle était votre situation ?

J’étais Directrice Marketing International dans un grand groupe français depuis 4 ans lorsqu’on m’a proposé un poste à l’étranger. Je l’ai refusé. Trois mois plus tard, on m’a annoncé une diminution de mes responsabilités. Je ne savais comment réagir. Je suis allé voir le cabinet de Career Crisis Management pour m’aider à y réfléchir. Je n’imaginais pas encore que j’allais être licenciée. Deux mois après, je l’avais compris.

• En quoi le cabinet Transition Plus vous a-t-il aidée dans cette crise ?

D’abord en me faisant prendre conscience de ce qui allait arriver : le consultant l’avait vu avant moi et m’y a préparée. Ensuite en m’aidant à bien quitter la société, matériellement et surtout psychologiquement : j’ai pu dédramatiser mon départ et comprendre que ce n’était pas personnellement moi qui en étais la cause, mais ma décision de refuser ce poste à l’étranger. Les négociations avec le groupe se sont déroulées de manière sereine, sans stress. En me tournant dans l’avenir, j’ai pu comprendre que quitter le groupe était finalement une bonne chose pour moi.

• Quels bénéfices avez-vous retirez de sa prestation ?

Cela m’a aidé à gérer cette crise de manière totale et sur le long terme. Une approche purement légale et fiscale ne m’aurait jamais apporté ça. La notion d’accompagnement n’est pas un vain mot ! Tous ceux que j’ai envoyés ensuite au cabinet de Career Crisis Management en sont revenus aussi convaincus que moi.

• Aujourd’hui, où en êtes-vous ?

Cette crise m’a conduit à un processus de réflexion sur moi-même, sur la personne que je suis. J’ai pris conscience de beaucoup de choses, j’ai plus de recul. Autour de moi, on me dit que je suis mieux.

Réaliser son rêve d’entrepreneur

Jean-François Bruchet, DG de filiale étrangère

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• Pouvez-vous nous décrire la crise professionnelle que vous avez connue.

Après avoir été expatrié au Brésil pour un grand groupe bancaire français, j’avais accepté d’en diriger la filiale polonaise, mais à titre d’essai et sous conditions. En effet, cette filiale était située à 7 heures de trajet de Paris, dans une ville excentrée, sans école française et où ma famille ne pouvait pas me suivre. Mon employeur et moi étions verbalement convenus que je reviendrais en France dans un poste équivalent si la situation s’avérait ingérable pour moi. Je suis resté deux ans et demi en Pologne. Ca a été passionnant et intense. J’ai largement développé la filiale mais l’éloignement familial est devenu vraiment impossible car entre temps mon frère et ma belle-sœur sont décédés, et ma femme et moi avons décidé de nous occuper de leurs enfants. J’ai donc choisi de rentrer. Au même moment, mon employeur fusionnait avec un autre groupe bancaire et insistait pour que je reste à mon poste en Pologne. Ce que j’ai refusé. D’où la crise.

• En quoi le cabinet Transition Plus vous a-t-il permis de transformer la crise en une opportunité de vie ?

De deux manières. D’une part, le consultant de CCM m’a fait prendre conscience que je n’avais pas intérêt à rester chez mon employeur dans un poste d’attente. Le quitter n’était pourtant pas évident : j’y avais fait un beau parcours avec des expériences très complémentaires, j’avais un profil recherché et appartenais à une génération appelée à prendre la relève. Mais j’aurais certainement dû patienter longtemps dans un poste intermédiaire avant d’avoir une réelle opportunité de carrière, ce qui ne correspondait pas à mon tempérament et présentait le risque, si rien ne se passait, de repousser la crise dans des conditions, cette fois, moins favorables. D’autre part, le consultant m’a aidé à bien négocier ma transaction financière et m’a permis de me sécuriser matériellement pour essayer d’autres voies.

• Aujourd’hui, où en êtes-vous ?

J’ai réalisé un rêve que j’ai toujours eu mais dont je pensais qu’il ne serait jamais qu’un rêve : j’ai créé ma société. Et dans un domaine qui, à titre personnel, m’intéresse depuis toujours : la robotique. En 2005 j’ai créé une société qui fait de la recherche, conçoit et développe des robots humanoïdes. Nous avons obtenu des fonds importants, dont un financement de l’Anvar. Nous sommes aujourd’hui une équipe de 17 personnes et avons développé un prototype que nous pourrons exposer dès l‘automne prochain. En 2008 nous le commercialiserons auprès du grand public.

Devancer la crise pour mieux rebondir

Bernard Huguenin, Directeur Commercial

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• Pouvez-vous nous décrire la crise professionnelle que vous avez connue ?

J’étais depuis 10 ans à la direction commerciale d’un groupe industriel, leader français de l’emballage plastique professionnel. Je pilotais 50% du chiffre d’affaires et 60% des bénéfices du groupe. Je souhaitais évoluer mais aucune opportunité ne se présentait dans le groupe. Par ailleurs, je me suis trouvé en désaccord avec notre nouveau président sur la stratégie de l’entreprise à adopter. Que faire ? Des amis m’ont suggéré de me faire accompagner pour étudier la question, j’ai suivi leur conseil.

• En quoi le cabinet Transition Plus vous a-t-il permis de transformer la crise en une opportunité de vie ?

J’ai vu le cabinet Transition Plus à un moment où il n’était pas encore question de départ, mais où il s’agissait de prendre une décision : rester (et risquer d’être licencié) ou engager une négociation de départ à l’amiable. Après avoir pris le temps de réfléchir à mes souhaits d’évolution professionnelle, j’ai choisi la seconde alternative qui me permettait de garder la maîtrise de la situation.

La négociation a été longue et difficile mais le Career Crisis Management a été un soutien important pour fixer des objectifs, caler, recaler des scénarios et boucler la négociation. Et il est important dans une situation difficile comme celle-là de pouvoir échanger avec des professionnels qui en ont l’expérience. Dans la négociation j’ai obtenu une prestation d’outplacement qui a été rapidement menée : comme j’avais eu le temps de penser à mon avenir professionnel, je n’ai pas eu de deuil à faire et je savais ce que je voulais. Et j’ai trouvé un nouveau poste en un mois.

• Aujourd’hui, où en êtes-vous ?

Exactement là où je voulais être. J’ai atteint tous les objectifs que je m’étais fixés. En terme de secteur, j’ai rejoint un univers que j’avais connu avant : la restauration. En terme de taille d’entreprise, je gère désormais 70 millions d’euros de chiffre d’affaires, contre 50 millions auparavant, et dirige un effectif qui est passé de 60 à 380 personnes. En terme de responsabilité enfin, je dirige la Business Unit d’un groupe international et j’ai retrouvé un mode de fonctionnement anglo-saxon que j’apprécie.

Au final, cette transition a été très positive puisqu’elle m’a permis de progresser sur tous les plans. Ce qui n’était pas évident au départ, j’ai joué la partie alors que j’avais plus de 50 ans. J’en ai acquis la conviction qu’il faut activement gérer sa carrière pour ne pas la subir. Et que dans les moments de crise, il est fondamental de savoir investir dans un conseil professionnel.

Ecouter ses envies

Christian Lesueur, Directeur de produits

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• Pouvez-vous nous décrire la crise professionnelle que vous avez connue ?

Après avoir passé 10 ans à la direction d’une business line chez un important équipementier automobile français que j’avais quitté à la suite d’un désaccord stratégique, j’ai rejoint un autre équipementier automobile dans des fonctions similaires. J’y travaillais depuis 5 ans et j’étais démotivé, sans envie d’avancer, sans réelle énergie, déconnecté de la dynamique de l’entreprise qui allait assez mal par ailleurs et ne me stimulait pas. Une vraie spirale descendante. A la suite d’une restructuration, mon employeur m’a proposé une évolution qui ne me motivait pas davantage. Ce qui m’a amené à me poser la question : que faire ? Faire encore un coup de plus, malgré tout ? Ou en profiter pour bousculer le jeu ?

• En quoi le cabinet Transition Plus vous a-t-il permis de transformer la crise en une opportunité de vie ?

Dans la mesure où je refusais le poste qui m’était proposé, je me mettais en situation de sortir. Le Career Crisis Management m’a permis de bien gérer mon départ, évité de me placer sur le terrain juridique, ce que j’aurais été tenté de faire. Etant accompagné et soutenu, j’étais dans une situation sereine pour négocier mon package. Il m’a également aidé à prendre conscience que cette fois c’était une vraie rupture. C’était pour moi un deuxième départ et donc là, vraiment, je coupais quelque chose. Il m’a aidé à le vivre de façon tranquille.

• Aujourd’hui, où en êtes-vous ?

J’ai fait un virage à 180°. J’ai décidé de sortir d’un type de carrière dans lequel je m’étais, à vrai dire, laissé entraîner. J’ai changé de vie, choisi de développer une activité indépendante, d’écouter mes envies et de privilégier la qualité de vie et l’épanouissement personnel. La musique était pour moi une passion et un vieux regret. J’ai monté une école de musique, elle compte aujourd’hui 205 élèves et termine son 3ème exercice.

• Avec le recul, comment considérez-vous cette évolution ? Aurait-elle pu se produire plus tôt ?

J’étais entré chez ce deuxième équipementier par automatisme, en reconduisant ce que je faisais déjà mais sans la réelle sensation d’un challenge personnel, d’un défi à relever qui m’aurait motivé et porté pour quelques années.
J’ai donc intégré une nouvelle entreprise, certes, mais dans une sorte de continuité un peu résignée, démotivé d’entrée. Ca a été 5 années difficiles. Aurais-je pu en faire l’économie? Oui si j’avais pris la peine de mieux analyser les choses à l’époque. Mais en même temps on ne refait pas l’histoire. Aurais-je alors monté un projet aussi motivant pour moi ? Pour oser faire ça, il faut avoir compris que jouer la sécurité et la continuité est une mauvaise solution… Peut-être fallait-il aller à l’épuisement de cette expérience pour rebondir et me permettre de le faire.

Se repositionner tout en douceur

Elisabeth Chevrier, Responsable de portefeuille

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• Pouvez-vous nous décrire la crise professionnelle que vous avez connue ?

Je travaillais depuis 17 ans dans une banque d’affaire où j’avais connu jusqu’à l’âge de 40 ans une progression linéaire. Mais depuis 2 ans je sentais qu’on me faisait moins évoluer, qu’on ne me confiait pas de nouvelles responsabilités, voire même qu’on me mettait de côté sur certains sujets. Ma première réaction a été de redoubler d’efforts, de prouver que je voulais être promue au titre de directeur qui était mon objectif. Cette promotion m’a été refusée une première fois, puis, à la suite d’un changement de direction, une deuxième. Je me sentais dans une impasse. Cette situation arrivait au milieu de ma vie, à un âge où se posait pour moi la question du choix d’accepter de rester à un niveau intermédiaire ou de me battre pour continuer à progresser. En décembre 2007, ma direction, sans me licencier, m’a conseillé de chercher du travail dans une autre entreprise.

• En quoi le cabinet Transition Plus vous a-t-il permis de transformer cette crise en opportunité de vie ?

La consultante m’a permis de prendre du recul sur ma situation et d’envisager les deux options qui s’offraient à moi : rester avec le risque de finir par me faire licencier ou partir et essayer de retrouver un emploi. J’ai finalement choisi cette seconde option. Elle m’a ensuite aidée à établir une stratégie et une méthode. Comment négocier une séparation ? Que dire ? Que demander ? Elle m’a accompagnée dans la démarche et m’a soutenue, ce qui était appréciable car la décision était lourde. Quitter ma banque n’était pas un acte évident, je m’entendais bien avec les personnes et les clients, j’ignorais la vie qui m’attendrait après. La consultante m’a aidée à mettre en place une stratégie de négociation afin de partir dans des conditions financières satisfaisantes tout en maintenant de bonnes relations avec mon management. J’ai quitté mon employeur sans rancœur, sans stress, très sereine. Elle m’a enfin conseillée dans le choix d’un cabinet d’outplacement chez lequel je me suis rendue le lendemain même où je quittais la banque.

• Aujourd’hui où en êtes-vous ?

Après quatre mois de recherche, j’ai rejoint une autre banque. Je suis contente car j’ai découvert une nouvelle société, un nouvel environnement de travail, de nouveaux clients. Je n’avais pas l’expérience du changement d’employeur, celui-ci s’est fait sans difficulté. Depuis, ma précédente banque a procédé à plusieurs licenciements, parfois de manière brutale. Nul doute que j’aurais été du nombre si j’y étais restée. Avoir pris mon sort en main m’a évité de vivre une rupture douloureuse et m’a permis de me repositionner calmement et rapidement.

NB : Nous certifions l’authenticité de tous ces entretiens. Pour des raisons de confidentialité nous
avons toutefois changé l’identité des personnes.

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